La suite de l'histoire --->
---------------------------------------------------------------------------------------------------------
Flash Back---------------------------------------------------------------------------------------------------------
Yamato était alors prisonnier du laboratoire de Orochimaru comme soixante autres enfants. Mais Ororchimaru était extrêmement intéressé par les capacité que seul le premier Hokage pouvait utiliser. Orochimaru voulait se servir non seulement de son pouvoir pour contrôler a son tour cette affinité extrêmement rare mais il avait également en tête de se servir de
Yamato ainsi que des autres enfants pour cloner des cette capacité d'une extrême rareté.
Yamato prisonnier dans le laboratoire mystérieux de so Sensei faisait face a ce dernier.
« Vois tu mon chère Tenzou (he oui a l'époque le véritable nom de Yamato connu de tous était Tenzou ^^), ce pouvoir est immense ,et je compte bien utiliser ton corps pour mes recherches … »Yamato était alors très jeune et complètement paniqué.
« que compter vous faire de moi Sensei ?… »Orochimaru se tourna vers lui avec un sourire sadique sur les lèvre.
"les capacités de premier Hokage ont depuis longtemps disparus, les techniques Mokuton qui étaient caractéristique et véritablement la spécialité du premier Hokage, n'existe pratiquement plus ou alors sont trés faible et n'ont donc aucune utilité sur un champ de bataille ... Seulement grâce a toi Tenzou ainsi que tous ces autres gamins je saurais utiliser a la perfection ces technqiues, et avec de l'entrainement je deviendrais redoutable c'est certain ... Malheureusement pour toi mon petit Tenzou il me faut ces Techniques."
s’en suivit un rire diabolique de Orochimaru puis le noir et les ténèbres envahirent
Yamato …
---------------------------------------------------------------------------------------------------------
Fin du Flash Back---------------------------------------------------------------------------------------------------------
9 ans plus tard…La 11e Division de l’anbu une fois n'est pas coutume était calme, cela commençait à faire un petit moment qu'aucun événement nécessitent le déploiement de la division de choc de
Yamato n'avait eu lieu. Les shinobis étaient pour la plupart à l'entraînement, perfectionnant leur art du combat. Leur terrible capitaine
Yamato veut des hommes forts, de vrais guerriers et pas de Shinobis bons qu'à servir dans la paperasse. Le ciel était sans un nuage, le Sereitei était d'un calme digne des rêves les plus fous du Capitaine
Yamato.... Ce dernier était prostré dans son bureau, les jambes étendues sur celui ci, son Katana posé face à lui. Il réfléchissait sur un moyen de se défouler un peu, il en avait assez de devoir passer son temps dans son bureau où dans le dojo à s'entraîner avec des demis portions de shinobis . Le programme de la journée était aussi désert que le crâne de son assistant, vraiment rien à faire: pas de réunion de capitaines, pas de nouvelles recrues a traumatiser, pas d'attaque de villages ennemis surpuissants, pas de révoltes à mater et pas même de paperasse à remplir. L'option entraînement étant écartée par lassitude,
Yamato allait sûrement se défouler en parcourant la forêt à la recherche d'un défouloir valable. Son bureau était de taille moyenne, le mobilier pour le moins sommaire: un bureau, trois sièges, une banquette et une petite commode le composent en tout et pour tout. Derrière le fauteuil du capitaine se trouve le blason de la division, une croix soulignée d'un trait insérée dans un losange le signe de l’anbu. C'est un bureau très éclairé, il possède des fenêtres sur trois des quatre murs, si on ne savait pas qui en était le propriétaire, il aurait était impossible de le deviner. C'est dans ce décor que
Yamato chef de l’anbu se prépara à partir en quête d'un peu d'action au milieu de cet océan de calme et de sérénité.
C'est alors que surgit par la fenêtre son fidèle lieutenant, Yacorute, excitée comme une puce et courrant partout dans le bureau, elle venait de rentrer d'une réunion et dieu seul sait ce qui l'a rendue aussi hystérique, non pas qu'elle ne le soit pas d'habitude mais elle était particulièrement agitée. Ses pommettes étaient d'un rose criard, virant au rouge et elle agitait ses bras de haut en bas sans arrêt. Cela exaspérait
Yamato qui avait mieux à faire que d'écouter la turbulente jeune femme, il s'apprêtait a quitter les lieux histoire de se dégourdir un peu et résultats des courses; il est toujours entre ces quatre murs à subir l'hyperactivité de sa subordonnée, mais il ne pouvait rien lui refuser alors il décida de se réinstaller dans son siege, les jambes étendues sur le bureau. Yacorute s'essaya sur un angle du bureau, tournée vers
Yamato et balançant ses petites jambes dans le vide. Elle ne pouvait plus tenir elle devait raconter son histoire:
"Yamato-san, la réunion était super! Il y avait un shinobis qui remplaçait Renjitoki-san, et bien il sait parler!! Et en plus il est gentil, il'm'a donné a manger, et....."Yacorute continuait son histoire alors que
Yamato avait complètement décroché, il était perdu dans ses pensées. Il se demandait bien a quoi pouvait marcher Yacorute pour être si agitée, on peut dire qu'il l'aime beaucoup mais cela n'empêche pas
Yamato d'être vite dépassé par les histoires et autres idées abracadabrantesques de son assistante de poche. Et elle continuait son flot ininterrompu de paroles et d'anecdotes.
Yamato était exaspéré, déjà que la journée était ennuyeuse au possible, voila que Yacorute s'y met aussi... Le capitaine de l’anbu prenait vraiment sur lui pour ne pas hurler d'arrêter de jacasser à Yacorute, il ne pouvait que se montrer très peu autoritaire avec son assistante donc il subissait son discours, il ne fait nul doute en revanche qu'a la fin du discours quelqu'un allait souffrir....
"... Dis Yamato-chan tu vas venir à la prochaine réunion? ça va être amusant! Et puis peut être que tu pourras te battre contre Byaku...."C'est alors que pendant que
Yamato poussa un énième soupir d'ennui que la porte du bureau s'ouvrit avec fracas, laissant apparaître trois Shinobis tout sourires, ils avaient l'air d'avoir fait une découverte pour tuer l'ennui.
Yamato a donc bien évidement repris espoir, s'attendant à une nouvelle fracassante, du genre un adversaire à la mesure de
Yamato, à de l'action brute. Enfin quelque chose qui briserai la routine oisive qui s'était installée depuis peu de temps... Les trois shinobis entrèrent et s'installèrent respectivement sur la banquette et sur une chaise.
"Capitaine, rien à signaler de nouveau... on s'emmerde royalement en ce moment..."Soudain les shinobis se disputèrent dans le bureau de
Yamato et ce dernier ne savait même pas pourquoi toute cette agitation.
"Fermez la!!!!!!!!!! Vous vous croyez où ici? Déjà qu'on s'emmerde assez ici comme ça, autant s'emmerder au calme!!! Si jamais vous vous taisez pas, je vous garantis que vous allez vous taire une fois pour toute si...."Le bureau avait été déserté par ses occupants devenus indésirables, la colère de
Yamato aidant, ils avaient tous fui sauf Yacorute qui lui esquissa un sourire. Il la regarda, puis s'apprêta a quitter son bureau, il s'avança calmement puis ouvrit la porte. Il regarda alors son lieutenant en lui souriant, ce qui voulait dire qu'il fallait qu'elle s'accroche à lui car il allait démarrer fort. A peine le sourire terminé il entama une course folle a travers les quartiers à la recherche d'un éventuel divertissement... au bout de plusieurs minutes, l'allure de
Yamato s'était considérablement ralentit et son assistante (de poche) c'était même endormie accrochée a son dos.
Yamato opta alors pour faire un petit tous du coté de l'étang afin de se relaxer un peu, ce qui était l'une des rare occasions pour le faire, pour cela
Yamato était semblable a Shikamaru, il était d'un naturel rêveur et aimait pas dessus tous les calme et les beaux paysages.
Le matin était déjà loin et les prémices d’une journée radieusement ensoleillée se faisaient déjà ressentir. Il devait être aux alentours de la mi-journée passée car le vent frais matinal s’était légèrement enrichit de chaleur… du moins, d’un peu de tiédeur réconfortante, éloignant les risques d’averses ou de coups de froids inattendus.
Inspirait l’air avec entrain, un homme observait le ciel avec un sourire aux lèvres, tel un passionné des étoiles. Les iris, d’un brun de noyer, voyageaient lentement de droite à gauche, suivant les douces courbes des nuages si libres et dépendants d’eux-mêmes. Une telle errance autonome représentait beaucoup pour l’observateur aux yeux bruns, ce dernier avait une telle passion dans le regard qu’on aurait pût croire que ses yeux perlaient. Lentement ses lèvres s’entrouvrirent, béats d’une contemplation extrême. Mais alors qu’un son allait sortir de sa gorge, un autre vint soudainement chambouler l’ordre des choses :
- Le ciel est beau, hein ?Tout aussi lentement, le questionné tourna son regard vers le nouvel arrivant, un homme adulte, habillé d’un kimono verdâtre dont l’état en disait long sur son long séjour à la rue. De plus, la barbe mal rasée et les cheveux hirsutes n’arrangeaient rien à la situation. A cela, l’homme aux yeux bruns répondit d’un simple sourire, avant de se remettre à observer le ciel au grand dam du second.
- … Vous venez d’où ?Une nouvelle question arriva aux oreilles de l’observateur qui se tourna encore plus lentement vers son interlocuteur. Ce dernier semblait avoir été légèrement vexé du silence qui lui avait offert, cela se voyait à ses poings serrés…mais aussi à ses yeux, ses iris…
Cela eut pour effet de faire sourire le silencieux, qui se retourna encore une fois vers les nuages qu’il semblait tant affectionner.
Il eût un très long nomment de calme où même le vent se retenait de passer et de déranger le spectacle. Toujours les yeux tournés vers le firmament, l’homme aux yeux bruns affichait un regard d’enfant. Tandis que l’autre, le regard devenant de plus en plus meurtrier, se retenait d’empoigner l’individu qu’il avait face à lui. D’ailleurs, il céda à sa colère et s’avança vers l’homme, prêt à la cogner. Mais c’est alors qu’il remarqua que ce dernier avait sortit un éventail de nulle part, s’était baissé et avait commencé à écrire sur la terre. Alors que la colère coulait dans ses veines, l’homme au kimono vert s’approcha lentement de celui qui écrivait, tentant de lire ce qu’il inscrivait sur cette terre dont ils foulaient la surface sans gène. Après quelques secondes de tracés et de courbes, l’homme à l’éventail se redressa avant de faire disparaître son éventail. Il se tourna vers l’homme aux habits verts et posa sa main sur son épaule avant de lui dire à l’oreille et d‘une voix clame et douce :
- Aime le ciel comme s’il s’agissait de ta propre maison…Puis, se redressant aussi lentement qu’il s’était approché, il se mit à se diriger droit en avant, ne prêtant aucun attention à l’homme qui se retourna, le regard ahuri. L’homme se dirigea alors dans le sens inverse au chemin menant au détroit.
C'est ainsi que l'homme connu
Yamato, chef de l'anbu et rêveur a plein temps ...